Note de l’Editeur : Cet ouvrage est vraisemblablement le premier à éclaircir, par une nouvelle approche, ce qui a été oublié depuis 4000 ans environ : les bases fondamentales de la théorie des Six Energies de la Tradition Chinoise.
Le mérite de l'auteur est d'avoir réuni la médecine, la prospective et l'astronomie avec pour outil intellectuel unique, l'analogie, méthode traditionnelle de la Chine Ancienne. Ces recherches ont abouti à une connaissance détaillée du fonctionnement de nos horloges biologiques en relation avec les rythmes cosmiques. Des applications médicales étonnantes en découlent
Une telle étude intéresse non seulement les spécialistes, mais aussi l'homme cultivé, l'auteur effectue une véritable enquête sur les racines symboliques de la pensée humaine, notamment au travers de l'étude de certains caractères chinois anciens.
Extrait du livre :
Dire que nos ancêtres possédaient une Science approfondie dans le domaine de la médecine n'entraîne plus actuellement un scepticisme systématique, depuis que la médecine chinoise s'établit peu à peu en Occident et que la pensée qui la sous-tend est explicitée par des auteurs compétents et notamment par l'oeuvre et l'enseignement médical de J.A. Lavier.
Mais il faut alors s'entendre sur la signification du mot Science. La Science médicale chinoise ancienne implique un mode d'approche et de raisonnement totalement différent de celui de notre Science contemporaine. Par contre, cette Science, comme la nôtre, permet d'aboutir à une connaissance précise de certains phénomènes énergétiques, que l'on peut chiffrer avec exactitude, mais à une différence près : la partie quantitativement définie ne constitue pas un but en soi, elle n'est qu'un support pour la partie qualitative autrement plus importante. Dès lors, le «physique» n'est que la projection de principes métaphysiques dont il dépend entièrement. «Toute Énergie est totalement soumise à l'Esprit», nous dit le Nei Tching Sou Wen, livre ancien de la médecine chinoise.
Ceci implique que cette Science, quel que soit le domaine où elle s'exprime, ne puisse être transmise que par l'intermédiaire d'un langage symbolique qui, seul, permet une expression à plusieurs niveaux : les phénomènes naturels, mesurables par nos instruments, dérivent de principes supérieurs et transcendants dont ils sont des symboles, «ce qui n'affecte en rien leur réalité propre» (René Guenon).
Et c'est pourquoi certains textes chinois anciens qui, lors d'une première lecture semblent d'un sens évident, recèlent, pour un oeil averti qui en connaît le «codage» symbolique, un sens technique précis. Par exemple, dans le domaine de la médecine, il existe un point d'acupuncture appelé «Yun Menn» dont la traduction littérale est «Porte des nuages», ce qui évidemment n'a aucune utilité pour le médecin, alors que sa traduction «codée» et utilisable (ainsi que nous a appris à le voir J.A. Lavier) concerne l'accès à des fonctions essentielles de l'organisme humain.
Mais il faut alors s'entendre sur la signification du mot Science. La Science médicale chinoise ancienne implique un mode d'approche et de raisonnement totalement différent de celui de notre Science contemporaine. Par contre, cette Science, comme la nôtre, permet d'aboutir à une connaissance précise de certains phénomènes énergétiques, que l'on peut chiffrer avec exactitude, mais à une différence près : la partie quantitativement définie ne constitue pas un but en soi, elle n'est qu'un support pour la partie qualitative autrement plus importante. Dès lors, le «physique» n'est que la projection de principes métaphysiques dont il dépend entièrement. «Toute Énergie est totalement soumise à l'Esprit», nous dit le Nei Tching Sou Wen, livre ancien de la médecine chinoise.
Ceci implique que cette Science, quel que soit le domaine où elle s'exprime, ne puisse être transmise que par l'intermédiaire d'un langage symbolique qui, seul, permet une expression à plusieurs niveaux : les phénomènes naturels, mesurables par nos instruments, dérivent de principes supérieurs et transcendants dont ils sont des symboles, «ce qui n'affecte en rien leur réalité propre» (René Guenon).
Et c'est pourquoi certains textes chinois anciens qui, lors d'une première lecture semblent d'un sens évident, recèlent, pour un oeil averti qui en connaît le «codage» symbolique, un sens technique précis. Par exemple, dans le domaine de la médecine, il existe un point d'acupuncture appelé «Yun Menn» dont la traduction littérale est «Porte des nuages», ce qui évidemment n'a aucune utilité pour le médecin, alors que sa traduction «codée» et utilisable (ainsi que nous a appris à le voir J.A. Lavier) concerne l'accès à des fonctions essentielles de l'organisme humain.
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Merci Daniel et Marie-Jeanne pour ce conseil de lecture.
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