VIDEO : Communiquer avec bébé

INTERVIEW d’Hélène Gérin et Frédéric Laloux
Je vous recommande cette interview de mes amis Hélène et Frédéric par Lilou et leur livre édité aux Editions Souffle d’Or. 



Imaginons qu'un bébé puisse parler ! Qu'est-ce qu'il pourrait bien dire ? Des mots doux à ses parents ? Ou bien ce qu'il ressent ? Ce dont il a besoin ? Peut-être qu'il n'aurait pas - ou moins - besoin de passer par les pleurs pour se faire comprendre. Peut-être même qu'il poserait des questions à ses parents ?

Quand notre fils est né, nous étions convaincus - comme vous aussi peut-être ? - qu'il y avait au fond de lui une vie intérieure riche et profonde. Alors, sans trop savoir où cela allait nous mener, nous avons essayé d'aller à sa rencontre, en nous inspirant de techniques existantes comme le test musculaire (utilisé en kinésiologie) et la communication non-violente.

Et nous avons mis au point une technique que nous avons baptisée la communication connectée : elle permet d'avoir de vrais dialogues avec son bébé. Comme il ne parle évidemment pas encore, on lui propose des paroles et lui nous indique - à travers le test musculaire - si "oui" ou "non", c'est bien cela qu'il veut dire.

Au début, nous avons joyeusement tâtonné, douté parfois aussi, et au final le résultat a dépassé toutes nos espérances. C'est souvent très émouvant d'écouter ce que notre bébé a à nous dire. Et d'un point de vue pratique, presque toujours, ses pleurs naissants s'arrêtent avant même de vraiment s'installer, une fois qu'il a pu exprimer ce qu'il avait sur le coeur. Du coup, les choses se passent souvent de manière très fluide pour nous comme pour notre bébé.

Aujourd'hui, nous nous sentons appelés à partager nos découvertes avec tous les parents que cela intéresse. On a créé ce site pour vous, tout comme le livre "J'ai tant de choses à dire". Alors si cette approche vous intrigue, nous vous invitons chaleureusement, vous et votre (futur) bébé, à vous lancer à votre tour dans l'aventure !

http://www.communicationconnectee.com/

VIDEO : La laitue hydroponique


Petit reportage québécois qui nous éclaire sur une technique en plein essor : l’hydroponie. Exemple de la laitue ...  



La laitue hydroponique permet des rendements important, avec un cycle de culture plus court. Au-delà de la facture énergétique conséquente, cette technique utilise moins de ressources (eau, engrais) et pas (ou presque pas) d’insecticides et de fongicides. Quel est le bilan écologique ? Voici quelques avantages et inconvénients listés par les contributeurs de Wikipédia. 

Avantages


Ce procédé est supposé présenter de nombreux avantages : moindre consommation d'eau, croissance contrôlée et rapide, moins d'attaque de nuisibles du sol, meilleure maîtrise de la précocité. La culture hydroponique permet également une automatisation de la culture : température, éclairage, contrôle du pH et de la concentration en éléments nutritifs du liquide, ventilation.

En raison de son potentiel de productivité, elle permet d’obtenir des résultats tout en faisant des économies d'eau. Cette technique permet de faire pousser des végétaux tout en leur permettant d'exprimer tout leur potentiel génétique.

La culture hors-sol serait l’une des solutions à massivement mettre en place pour résoudre les problèmes actuels et à venir du manque d’eau, de malnutrition sur notre planète.

La demande du marché est grandissante et pour pouvoir y répondre, le développement de ce type de cultures est en forte augmentation.


Inconvénients

Inconvénients économiques
L’adoption et le développement de ces techniques en agriculture industrielle, malgré leur grand potentiel de productivité, sont limités à cause de l’importance des capitaux qu’il faut investir pour qu’elles soient mises en place ce qui dissuade de nombreux paysans à les installer. De plus, elles engendrent une consommation électrique importante.

Développement durable
Ce type d'agriculture fait largement appel à l'utilisation d'énergies fossiles participant encore plus au réchauffement climatique : emploi massif de matières plastiques pour les bâches des tunnels, de paillage, de poches à substrat, fertilisation majoritairement à base d'engrais minéraux chimiques emploi de chauffages de serres pour les productions de contre-saison.

L'imperméabilisation des sols engendrée par l'abri de centaines d'hectares de cultures accroît la baisse du niveau desnappes phréatiques. L'eau de pluie, alimentant normalement ces nappes, ruisselle directement dans les cours d'eaux et ne participe plus à l'alimentation de la nappe phréatique. Cela engendre une érosion des sols. Toutes les variétés de légumes et de fruits ne sont pas adaptées à cette technique. Son emploi, à long terme, ferait probablement perdre à l'humanité des variétés végétales obtenues après des centaines d'années de sélection. La mise en œuvre de cette technique, qui emploie des produits industriels manufacturés (tuyaux goutte à goutte, pompes doseuses d'engrais, pompe d'alimentation, bâche...) n'est pas envisageable pour les paysans pauvres des pays du Sud.

La question reste posée, dans les pays tempérés, de l'intérêt de produire à contre-saison alors que toutes les saisons couvrent des productions végétales vivrières adaptées.

DOCUMENTAIRE : Demain ! par Cyril Dion et Mélanie Laurent



LIEN POUR CONTRIBUER AU FINANCEMENT DU DOCUMENTAIRE 


Présentation détaillée du projet

Le-projet

Beaucoup de choses ont été essayées pour résoudre les crisesécologiques et économiques. Et elles n'ont pas vraiment marché. Selon Mohammed Yunnus, prix Nobel de la Paix, le moteur le plus puissant de l'être humain est son désir, et son imagination. Pour lui, il faut aujourd'hui faire des films, raconter des histoires, qui nous donnent envie de construire un autre monde. C'est ce qu'ont décidé de faire Cyril Dion et Mélanie Laurent en mettant bout à bout les solutions que nous connaissons dans tous les domaines pour montrer à quoi notre société pourrait ressembler demain...


Comment

Pendant 7 ans, Cyril a dirigé Colibris, une ONG qu’il a participé à fonder avecPierre Rabhi et quelques amis. A force de chercher comment faire bouger la société, une évidence s’impose  à lui : si nous voulons donner envie au plus grand nombre de construire un monde meilleur, il faut lui donner un visage. Montrer à quoi il pourrait ressembler et créer l’envie d’y habiter.

Annoncer les catastrophes, empiler les désastres écologiques et économiques ne suffit pas à déclencher un sursaut. Nous avons besoin d’imaginer le futur, de le rêver, pour le mettre en œuvre. Et rien n’est plus puissant que le cinéma pour y parvenir. Fin 2010, après la sortie du film de Coline Serreau « Solutions locales pour un désordre global » auquel il a collaboré, il commence à écrire ce qui deviendra DEMAIN.

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Depuis plusieurs années, Mélanie est engagée auprès d’ONG comme La Fondation Danielle Mitterrand ou Greenpeace avec qui elle s’est beaucoup impliquée contre la surpêche. En 2011, elle rencontre Cyril et participe en 2012 à la campagne « Tous candidats » de Colibris.

Entre temps, elle réalise son premier long-métrage « Les Adoptés ». Quelques mois plus tard elle est la narratrice du documentaire « The end of the line » dénonçant l’épuisement des ressources halieutiques. A l’été 2012, Cyril propose à Mélanie de réaliser le film avec lui. Elle accepte sans hésiter. DEMAIN est sur les rails.


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HABITAT : Projet d’une résidence ‘Pleine Conscience’ à Paris 20ème




Un ami, Julien Maury, lance avec COAB dont il est fondateur, un projet d'habitat participatif assez original.

L'habitat participatif, c’est quoi ? Il s’agit d’un mode d'achat immobilier groupé basé sur la participation en amont des habitants. Il place les usagers, collectivement, au coeur de la conception de leur futur habitat afin de favoriser les économies, la qualité de vie, les solidarités quotidiennes et les complortments responsables. En impliquant les futurs usagers dés le départ, l'habitat participatif renverse la chaîne de production immobilière et ouvre de nouvelles perspectives. Il participe à l'essor de l'économie sociale et solidaire et de l'économie collaborative au niveau local et dans le monde.

Ce projet original c’est une Résidence ‘Pleine Conscience’ située à Gambetta, Paris 20ème. Avec COAB, il souhaite en faire un laboratoire vivant pour concilier les rythmes urbains avec une forme d'harmonie et de bien-être intérieur. Comme il le dit avec beaucoup d’humour : - c'est bien placé - c'est innovant - c'est moins cher - c'est pas tous les jours - c'est même maintenant La 1ère réunion de présentation à La Ruche, 84 quai de Jemmapes 75010 Paris, le mercredi 4/06 à 19h30. N’hésitez pas à faire passer aux personnes, futurs cohabitant-e-s ou investisseurs(-sseuses) conscient(e)s, qui pourraient être intéressé(e)s?

Un grand merci pour lui !

LIEN VERS LA PRÉSENTATION AU FORMAT PDF