FORMATION : Comment faire émerger l’intelligence collective? 16-17/11 à Paris









J’ai le plaisir de vous faire part d’une formation à ne pas manquer !

Quoi ? Comment faire émerger l’intelligence collective : découverte et expérimentation de 3 techniques

Qui ? Marine Simon, coach-consultante-formatrice-facilitatrice en intelligence collective que j’ai eu le plaisir de rencontrer et découvrir en pleine action lors de l’Université d’été de l’Institut Inspire. Sa bio.

Quand ? vendredi 16 et samedi 17 novembre

Horaires ? 9h-17h

Où ? Paris 19 - Métro Crimée (ligne 7) ou Laumière (ligne 5)

Combien ? 300 € (matériel et pauses - hors déj).

Merci de faire circuler dans vos réseaux.
Découvrir l’intelligence collective grâce à une personne comme Marine Simon, n’est pas si courant que cela ... Marine est une personne qui diffuse autour d’elle une très belle énergie ! ;o)

UNE INTERVIEW DE MARINE SIMON (avril 2012) 


ARTICLE : Les OGM sont des poisons (Nouvel Obs. 20/09/12)


EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons !

Des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. Tumeurs, pathologies lourdes… une hécatombe. Et une bombe pour l'industrie OGM.

Photo du film "Tous cobayes ?". 
(Jean-Paul Jaud / ©J+B Séquences)

Photo du film "Tous cobayes ?". (Jean-Paul Jaud / ©J+B Séquences)

LES VIDÉOS LES PHOTOS

(Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012)  
C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié.

Lourdement toxique et souvent mortel

Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Car c’est ce même OGM que l’on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les œufs ou le lait. 
En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !", Flammarion, en librairie le 26 septembre).

Nom de code In Vivo

Jusqu’en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Ils ont crypté leurs courriels comme au Pentagone, se sont interdit toute discussion téléphonique et ont même lancé une étude leurre tant ils craignaient un coup de Jarnac des multinationales de la semence.
Le récit de l’opération – nom de code In Vivo - évoque la très difficile récupération de semences de maïs OGM NK 603, propriété brevetée de Monsanto, par le truchement d’un lycée agricole canadien. Puis la récolte et le rapatriement des "gros sacs de jute" sur le port du Havre fin 2007, avant la fabrication de croquettes dans le secret le plus total et la sélection de deux cents rats de laboratoires dits "Sprague Dawley". Bilan ? Glaçant : "Après moins d’un an de menus différenciés au maïs OGM, confie le professeur Séralini, c’était une hécatombe parmi nos rats, dont je n’avais pas imaginé l’ampleur".

Pathologies lourdes, tumeurs mammaires

Tous les groupes de rats, qu’ils soient nourris avec le maïs OGM traité ou non au Roundup, l'herbicide de Monsanto, ou encore alimentés avec une eau contenant de faibles doses d’herbicide présent dans les champs OGM, sont frappés par une multitude de pathologies lourdes au 13e mois de l’expérience. Chez les femelles, cela se manifeste par des explosions en chaine de tumeurs mammaires qui atteignent parfois jusqu’à 25% de leur poids. Chez les mâles, ce sont les organes dépurateurs, le foie et les reins, qui sont atteints d’anomalies marquées ou sévères. Avec une fréquence deux à cinq fois plus importante que pour les rongeurs nourris au maïs sans OGM. 
Comparaison implacable : les rats nourris au maïs OGM déclenchent donc de deux à trois fois plus de tumeurs que les rats nourris sans OGM quel que soit leur sexe. Au début du 24e mois, c’est-à-dire à la fin de leur vie, de 50% à 80% des femelles nourries aux OGM sont touchées contre seulement 30% chez les sans-OGM.
Surtout, les tumeurs surviennent nettement plus vite chez les rats nourris aux OGM : vingt mois plus tôt chez les mâles, trois mois plus tôt chez les femelles. Pour un animal qui bénéficie de deux ans d’espérance de vie, l’écart est considérable. A titre de comparaison, un an pour un rongeur, c’est à peu près l’équivalent d’une quarantaine d’années pour un homme…
 

Exiger des comptes

C’est forte de ces conclusions que Corinne Lepage, dans un livre qui paraît vendredi 21 septembre ("La vérité sur les OGM, c’est notre affaire", Editions Charles Léopold Mayer), entend bien exiger des comptes auprès des politiques et des experts, français et européens, des agences sanitaires et de la Commission de Bruxelles, qui se sont si longtemps opposés et par tous les moyens au principe d’une étude de longue durée sur l'impact physiologique des OGM.
Cette bataille, l’ex-ministre de l’Ecologie et première vice-présidente de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire à Strasbourg, la mène depuis quinze ans au sein du Criigen (Comité de Recherche et d’Information indépendantes sur le Génie génétique) avec Joël Spiroux et Gilles-Eric Séralini. Une simple association 1901 qui a pourtant été capable de réunir de bout en bout les fonds de cette recherche (3,2 millions d’euros) que ni l’Inra, ni le CNRS, ni aucun organisme public n’avaient jugé judicieux d’entreprendre.

Une étude financée par Auchan et Carrefour

Comment ? Autre surprise : en sollicitant la Fondation suisse Charles Léopold Mayer. Mais aussi les patrons de la grande distribution (Carrefour, Auchan..), qui se sont réunis pour l'occasion en association. Depuis la vache folle, ces derniers veulent en effet se prémunir de tout nouveau scandale alimentaire. A tel point que c’est Gérard Mulliez, fondateur du groupe Auchan, qui a débloqué les premiers financements.
L’étude du professeur Séralini laisse donc présager une nouvelle guerre meurtrière entre pro et anti-OGM. Les agences sanitaires exigeront-elles de toute urgence des études analogues pour vérifier les conclusions des scientifiques français ? Ce serait bien le moins. Monsanto, la plus grande firme mondiale de semences transgéniques, laissera-t-elle faire ? Peu probable : sa survie serait en jeu. Pour une seule plante OGM, il y a une centaine de variétés. Ce qui impliquerait au moins une dizaine d'études de 100 à 150 millions d’euros chacune !

Le temps de la vérité

Sauf que, dans cette nouvelle confrontation, le débat ne pourra plus s’enliser comme par le passé. Dés le 26 septembre, chacun pourra voir au cinéma le film choc de Jean-Paul Jaud, "Tous Cobayes ?", adapté du livre de Gilles-Eric Séralini, et les terribles images des rats étouffant dans leurs tumeurs. Des images qui vont faire le tour de la planète et d’internet, puisqu'elles seront diffusées sur Canal+ (au "Grand Journal" du 19 septembre) et sur France 5 (le 16 octobre dans un documentaire). Pour les OGM, l’ère du doute s’achève. Le temps de la vérité commence.
Etude publié par la revue américaine "Food and Chemical Toxicology" :

> A lire : l'interview de Gilles-Eric Séralini, ainsi que des extraits de son livre "Tous cobayes!" (Flammarion), dans "Le nouvel Observateur" du 20 septembre.
 


Téléchargez le magazine :  






Merci Maryse d’avoir envoyé ce lien. 

VIDEO : Enseignement Thich Nhat Hanh 15/09/12 Paris-La Défense



Les 15 et 16 septembre 2012, le maître zen Thich Nhat Hanh était sur Paris pour 2 jours de conférence à la Grande Arche de la Défense. Près de 1500 personnes ont assisté à ses enseignements ainsi qu’à la marche méditative qui s’est tenue sur le parvis de la Défense le dimanche après-midi, sous un grand soleil (photos ci-dessous). 

Ci-dessus, vous trouverez son très bel enseignement du samedi soir. Un enseignement sur l’amour véritable qui a ému de nombreux participants. 
Les premiers mots sont pour introduire le chant des monastiques ‘Namo Avalokiteshvara’. Après le chant (minute 30’ sur la vidéo), Thich Nhat Hanh démarre son enseignement qui dure 1h45. 

Vous pouvez découvrir l’ensemble des événements de ces deux jours en vidéo sur PlumVillageOnLine (voir ‘Latest videos’ sous la vidéo principale réservée au direct, le 'live streaming'). 

MARCHE MÉDITATIVE SUR LE PARVIS DE PARIS-LA DÉFENSE
Dimanche 16 septembre 2012 - 15h-16h30






VIDEO : Le lobby du sucre (Cash Investigation - TV5 Monde)



Cash, magazine d’investigation présenté par Elise Lucet sur TV5 Monde nous présente le lobby du sucre et ses ravages sur notre santé. Les méthodes utilisées par les journalistes de ce documentaire sont musclées, parfois à la limite de l’éthique (caméra cachée laissée dans une salle de réunion ...), mais a le mérite de mettre le doigt là où ça fait mal. 

Chaque année, chacun d'entre nous, ici en France, consommerait 34 kilos de sucre. Deux fois plus qu'il y a quinze ans. 80% du sucre que nous avalons provient directement des aliments que nous achetons... le sucre se trouve parfois là où on le l'aurait jamais imaginé, comme dans les charcuteries industrielles ou les plats préparés.


Obésité infantile, développement des maladies cardio-vasculaires les conséquences de cette surconsommation de sucre sont graves. Pire encore, le consommateur n'a que très peu d'information sur la réelle quantité de sucre des produits qu'il achète.

Les journalistes de Cash, Edouard Perrin et Jean Baptiste Renaud, vous révèlent les techniques employées par ces industriels de l'agroalimentaire et leurs moyens démesurés pour nous faire absorber toujours plus de sucre

Organisé en véritable lobby, l'industrie du sucre en France mène depuis une quinzaine d'année une véritable offensive... y compris en ciblant les plus jeunes d'entre nous.

(Merci Bruno pour ce partage).

Autres vidéo de CASH :
- Les vendeurs de maladies, l’industrie pharmaceutique
Le Neuromarketing, où comment manipuler le consommateur sans qu’il s’en rende compte

VIDEO : L’ego spirituel par Eckhart Tolle


(Merci à Hanh pour ce partage). 

L'ego peut s'insinuer à tout moment sur la voie spirituelle. L'ego veut dire qu'une nouvelle image de qui vous êtes s'est renforcée dans votre mental.

‘Cultivez l’inter-être et l’ego s’effacera de lui-même’ (Merci aux soeurs de la Maison de l’Inspir pour cette belle réponse qui résonne en moi). 

Texte inséré sous la vidéo Youtube par les ‘Amis d’Eckhart Tolle’.

1) Le petit bréviaire de l’ego (Publié le 16 janvier 2012 par Le Passeur)
"Ah, l'ego spirituel... Qu'il est à la mode celui-là en ces temps de nouvel Âge ! Toutes les lames du bon vieux couteau suisse ne suffisant plus à contrer la volonté suprême de l'être qui s'oriente vers ce qu'il conçoit comme son élévation spirituelle, l'ego, jamais avare d'un tour dans son sac, abdique alors sa nature matérialiste pour revêtir les paillettes d'un habit de lumière sans quitter pour autant la scène du grand théâtre où il s'est fait. Cette imposture n'est possible que parce que l'être a connu les prémices d'un éveil, souvent sous l'emprise illusoire de l'ouverture du troisième œil, et se croit alors arrivé sur le seuil du temple alors qu'il n'a rien guéri des poids qui lestent encore ses pas en devenir. L'ego dégaine alors souvent sa lame la plus brillante pour sculpter les murs de sa magnifique tour d'ivoire, sous les yeux ébahis du clan qui parfois l'a suivi. Celui-là est à plaindre car la vanité d'un ego spirituel n'a pas d'égal en ce monde et les murs de sa prison sont plus solides encore.

2) La question est posée : " Y a- t-il une différence fondamentale entre mes attachements et prétentions d'ordre "matériel" et mes attachements et prétentions dits d'ordre "spirituel" ? " Un jour, je gagnerai au loto et je serai riche et heureux ..." " Un jour, je serai illuminé et je serai accompli et en paix ... » Est-ce si différent ?

3) Ecoutons ce qu'en dit Eric Barret :
"Trop souvent la spiritualité, la méditation est devenue quelque chose de plus à acquérir. On veut être riche, on veut être bon et on veut être « spirituel », on veut devenir le Bouddha ... alors que le Bouddha c'est justement de ne rien être, c'est d'arrêter de s'approprier des qualifications et retrouver ce qui est là à l'origine des choses ? Ce n'est jamais un devenir mais c'est ce qui est présent. Donc je ne pense pas qu'on puisse transmettre ça mais on peut ... on va dire ... bavarder autour de ça. Le son de la pluie est plus épuré et plus direct que toute formulation métaphysique ou spirituelle. » Lien vidéo

4) Hugh Prather et David Hoffmeister : Un cours en miracle, 1999
« C'est ironique que les individus aux croyances spirituelles fortes aient souvent de plus gros egos, sont plus rigides, sont plus inconsciemment dans le jugement, et qu'être en leur compagnie est moins agréable qu'être en la compagnie de ceux qui sont peu intéressés par des enseignements mystiques, religieux ou métaphysiques. Ceux qui chérissent le concept d'unité manquent souvent du désir de ressentir l'unité et l'égalité avec n'importe qui. »

5) Eckhart Tolle
L'ego spirituel est plus subtil que l'ego BMW. C'est l'ego qui revient par la porte de derrière. Et il amène un sentiment très subtil comme « je suis désormais plus que tous ce petits vers, qui n'ont pas encore vu la lumière ». « J'ai commencé tout ça, j'ai étudié avec des maitres, j'ai été dans les monastères, j'ai participé aux meilleurs ateliers. J'ai accompli tout ça »... Il y a un sens très subtil du plus. Et là aussi ça n'est jamais assez. Parce-que vous ressentez « Je ne suis pas encore éveillé, mais je suis déjà plus que tous ceux-là ». Il faut être très vigilant pour voir cela en soi. Voir que ce schéma mental
, collectivement conditionné, ce besoin de plus, investi même la quête spirituelle.

Une étude néo-zélandaise portant sur 1000 individus qui ont été suivis sur 30 ans démontre que le la consommation de cannabis à l’adolescence provoque une baisse des capacités intellectuelles à l’âge adulte. Vous trouverez, ci-dessous, des extraits d’articles se rapportant à cette étude dans Le Monde et Le Figaro (extraits et liens). 




Une étude souligne les effets néfastes du cannabis sur le cerveau des adolescents

Le Monde.fr | 28.08.2012 

Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer une baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte, montre une étude publiée lundi 27 août par une revue scientifique américaine. La recherche effectuée sur mille Néo-Zélandais de Dunedin, prenant en compte une période de vingt-cinq ans, a permis decomparer leur quotient intellectuel (QI) à 13 ans puis à 38 ans, les uns étant des consommateurs réguliers de cannabis, y compris après 20 ans ou 30 ans, les autres pas.

Au bout de la période, un écart de huit points s'est creusé entre les fumeurs et les non-fumeurs, affirme Madeline H. Meier, psychologue à l'université Duke, en Caroline du Nord, et autrice principale de cette étude menée en collaboration avec le King's College, à Londres ... (lire la suite de l’article sur le site du Monde)



Le cannabis perturbe durablement le cerveau

Le Figaro I  Damien Mascret - le 27/08/2012
Il est des études qui demandent du temps. Par exemple, estimer l'impact persistant de la consommation de cannabis sur les performances du cerveau aura pris près de quarante ans. C'est grâce à l'étude de Dunedin, du nom de la petite ville de Nouvelle-Zélande où elle a été conduite, que l'on en sait plus aujourd'hui sur les effets d'une drogue, finalement pas si douce que ça. Une cohorte de 1 037 enfants nés en 1972-73 y a été testée régulièrement à 5, 7, 9, 11, 13, 15, 18, 21, 26, 32 et 38 ans!

Les résultats sont inquiétants, car les scientifiques néo-zélandais, aidés de chercheurs de l'Université de Duke (États-Unis) et du King's College de Londres, confirment la plus grande vulnérabilité du cerveau des jeunes à la neurotoxicité du cannabis. On le suspectait, c'est désormais prouvé.

À 38 ans, ceux qui ont commencé à consommer du cannabis à l'adolescence ont en effet perdu quelques points de QI (quotient intellectuel). (lire la suite de l’article sur le site du Figaro).